Lui avec moi... C'est bien ma veine.

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June && Jushua

Lui avec moi... C'est bien ma veine.

Sept heures, le réveil sonna. Josh' se réveilla et partit en direction de sa salle de bain. Il prit sa douche, s'essuya et parti s'habiller dans sa chambre. Il regarda par la fenêtre, il fesait agréablement beau. Il opta pour un short gris clair, un t-shirt blanc aec une vu de manhattan dessus en noir & blanc, une veste bleu marine et des converses bleux foncés. Il retroussa les manches de sa veste. Il descendit pour aller manger, un bol de lait chocolaté avec des céréales et un vere de jus d'orange. Il mangea cela en speed et remonta. Il se brossa les dents et se coiffa vite fais. Il attrapa son sac à dos et mit ses lunettes de soleil sur le nez. Il prit sa voiture, roula en direction du lycée et arriva juste avant la première sonnerie. Huit heures moins cinq sonna, il était temps d'aller en cours. Il partit en cours et se demanda à chaque fois qu'il alalit à ce cours, pourquoi il l'avait choisi. Il fallait vraiment être succidaire pour prendre le cours de latin. Certe, il trouvait ça très simple mais qu'es ce que cela pouvait être ennuyant et servir à rien.
Il entra dans la classe et parti s'asseoir sur la table au fond à côté de la fenêtre comme à son habitude. Il y avait un point très positif à ce cours, June le suivait aussi. Certe, il y avait toujours une fille à côté d'elle et il y avait eprsonne qu'il fréquentait mais il pouvait la comtempler pendant tout les cours. Il n'avait que ça à faire et puis écouter le cours, amis bon cela rentrait facilement. Ce jour-ci, le prof commença son cours, ils avaient deux heures ensemble, et dit :
-Aujourd'hui, on va travailler en binôme. Je vais vous mettre par deux, pendant ces deux heures et vous finirez pour la semaine prochaine, vous ferez un exposé sur un thème qui est présent dans le texte que je vous distribu.
Il distribua les textes à chaque personne, puis reviens au tableau et reprit :
-Alors vous vous débrouiller à deux, on ne discute pas avec les autres. Toi avec toi, toi avec toi, vous deux ensemble... et June avec... avec Joshua. Voila travaillez bien, je noterais donc la semane prochaine vos exposer. si vous avez des questions n'hésitez pas.
Le professeur avait du entendre ses appels, il avait eu la chance de ce retrouver avec June. Celle qui le fesait apprécier un minimun le cours de latin. Il allait avoir le droit de passer deux heures entière avec elle, et peut être plus pour finir leur exposer. Que pouvait-il demander de plus. Il savait très bien que se ne serais pas facile de l'amadouer, il savait qu'elle le préprisait. Mais lui l'aimait, il ne comprennait pas vraiment pourquoi, mais pour a première fois de sa vie, il aimait quelqu'un comme cela, aussi fort. Et surtout depuis qu'il avait changé, jamais il n'avait permis à son coeur de rebattre pour quelqu'un mais... pour elel c'était plus fort que lui, il ne pouvait se l'empêcher. Il resta assis à sa place attendant qu'elle vienne, le partenaire de sa voisine allait prendre sa place donc elle va être obligé de la rejoindre au fodn de la classe. Il repensait au binôme que le professeur avait fais, il n'avait vraimet pas fait cela équitablement, June était la première de la classe et Joshua juste après. Où peut-être voulait-il simplement que els deux travaille autant l'un que l'autre...

Ce matin, lorsque mon réveil sonna, j'avais tout sauf envie d'aller en cours. Évidement je commençait par latin. Ce cours pourrait être très interessant comme il l'était à Washington mais malheureusement, ici à Henley, le prof était tellement endormant qu'il rendait son cour sans intérêt. Heureusement j'avais bien assimilé mon cours lorsque j'étais au U.S.A. et par chance la matière que je voyais maintenant ici etait exactement la même que j'avais vu l'année precedante là-bas. Cette situation me valais le prix d'être première de classe en cette matière et de ne pas me forcer à écouter le cour pour piger quelque chose. Bref je finis quand même par me réveillé en faisant le moins de bruit possible pour Saph' qui dormait encore. Je me preparai, pris ma douche, m'habillai en vitesse, pris mon sac que j'avais préparé la veille et sorti en prenant soin de ne pas claquer la porte. Je partis à pied, mon moyen de transport préféré et arrivai bien à l'heure au lycée. Lorsque la sonnerie retenti, je me dirigeai vers mon local et pris ma place habituel, au centre de la classe. Le professeur annonça que pour ces deux heure nous devrons travaillé en binôme et blablabla. Je n'ecoutai pas le reste de ses paroles. Il nomma les groupes et je ne sorti de ma rêverie que lorsqu'il prononça mon nom. CHOC! Je devais travailler avec Joshua Anderson. Mon coeur bondit dans ma poitrine lorsque le prof cita son nom à la suite du mien. Pourquoi est-ce que je réagissais comme ça? Je n'aimais pas Joshua. C'est presque si je le détestais! Sa façon de parler au gens me donnais envie de vomir tellement il etait mauvais! Bref je n'avais pas le choix. Et puis malgré tout et même si je ne voulais me l'avouer, il ne me laissait pas indifférente mais je ne voulais pas finir dans sa collection de petits amies. Je finis donc par me levai et allai m'assoir à son coté. En chemin je croisai le regard de Kris qui bouillonait de rage. Ça se voyait dans ses yeux! Elle tenta de me faire trébucher en plaçant son sac au milieu de l'allée mais je l'evitai de justesse. Je m'assis à côté de Joshua sans même le regarder même si j'en pourrais d'envie. Je posai mon sac à terre, sorti mon plumier, l'ouvri et en sorti mon stylo, un effaceur et mon bic. Je m'emparai de mon sac pour en sortir un bloc de feuille puis seulement ragardai Joshua qui me regardais faire depuis que j'avais pris place. As quoi pensait-il en me regardant avec cet air presque gentil?

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Il était totalement déconnecté du monde, il ne voyait qu'elle qui avançait d'en l'allé pour le rejoindre. Elle fesait remnter en lui dela gentilesse et surtout son coeur, il ne pouvait être indifférent, son cas était désespéré pour lui or elle lui redonnait de l'espoir, l'espoir de redevir le Joshua d'avant, encore fraudrait-il qu'elle l'accepte, creuse en lui, amis surtout que ce masque et cette souffrance disparaisse à jamais.Il la regarda débaler ses affaires une par une. Il n'était as comme d'ordinaire avec elle, il ne pouvait s'empêcher d'être avec elle, il n'était pas non plus aussi gentil qu'il avait pu l'être avant mis il l'était plus que avec les autres. Il était totalement envouté par elle. Quand elel eut fini et le fixa curieuse de savoir ce qu'il mijotait surement, il prit un ton gentil pour une fois et lui dit.
-T'inquiet pas Kennedy je sais que tu veux pas faire équipe avec moi. Alors on essaye de bien avancer pendant ces deux heures, comme cela tu n'auras pas trop à me supporter à la bibliothèque, chez toi ou chez moi. En plus, le latin s'est vraiment simple.
Il fouilla dans sa trousse. Il en sortit une bague, une jolie bague pour fille qui devait appartenir à quelqu'un , elle n'était pas neuve. Elle était en or. Il latendit, la pose devant elle sur son bloc note et reprit.
-Tiens, tu as perdu ça hier à la fin du cours de mathématiques, mais tu as filé direct chez toi après et j'ai pas osé.
Il se sentait totalement stupide. comment il lui avait rendu s bague était pitoyable, un enfant de quatre ans aurait fait pareil. Il ne pouvait se contrôler en sa présence, il ne resentait plus sa souffrance au près d'elle, comme si tout l'amour qu'il cherchait, qu'il lui manquait, qu'il avait perdu, était là, à côté de lui. En tout cas, tout l'amour qu'il avait pu avoir pour ses parents avant, avait disparu pour toujours mais un encore plu grand était là, pour elle, en sa présence il sortait d'un coup de son coeur t c'est comme si ce dernier rafistaliat son coeur blessé, sa souffrance s'évaporait avec elle mais revenait après, quand June disparaissait.

rien qu'avec ses paroles Josua me donna envie de lui foutre une baffe. Je détestais qu'on m'appelle Kenndy. Je ne supportais pas ça! On m'appelait comme ça en Belgique parce que ça sonnait américain. À Washington, on m'appelait ainsi parce que c'était comme le président et puis ici, à Henley je suppose que c'est pour ne me changer les bonnes habitudes... J'allais répliquer lorsqu'il me présenta ma bague. J'étais prête à l'accuser de me l'avoir volée mais il justifia rapidement la raison de sa présence dans son plumier. Suite à son explication, je rougis de honte. Honteuse d'avoir pensé qu'il était un voleuse et morte de honte en me disant que j'avais été capable d'être tête en l'aire au point d'oublier de ramasser la bague de maman après l'avoir laissée tombée. Il m'arrivais souvent de jouer avec ma bague. Surtout en math car comme le cour de latin, j'avais déjà vu la matière en cours. Je pris la bague et l'enfilai à mon annulaire et faisant un faible sourire à Joshua.

j u n e : "Merci."
J'avais parlé tellement doucement et d'une voix tellement faible que je doutais qu'il n'aie entendu quoi que je soit. Je me raclai la gorge, croisai les jambes, ouvris mon bloc de feuilles et ôtai le capuchon de mon stylo prête à écrire. Le prof venait de distribuer les feuilles et j'en tendu une à mon voisin. Il s'agissait d'un texte de Horace le titre n'était autre que: Horace, Odes, II, III je parcourrai vite fais le texte latin des yeux.

j u n e : "Bon qu'est-ce que tu veux comme thème? Les règles de l'épicurisme que Horace instruit à Dellius, l'amour d'Horace pour la nature, les possible symbolique du texte,... Choisi toi."
Ce texte je l'avais reconnu tout de suite et je l'avais déjà traduis une bonne dizaine de fois. Ile me fallu donc que quelque secondes pour en savoir les différent thèmes. Je me souvins que probablement lui ne l'avait jamais lu et je repris.

j u n e : "Excuse moi, tu vu peut-être commencer par le traduire, c'est vrai, c'est possible que tu n'aie pas encore vu ce texte. Moi j l'ai déjà vu, c'est pour ça que je connais les différent thèmes. Ou! Excuse moi, je t'agace, je parle trop. C'est bon je me tais. Je te laisse traduire. Désole."
Je j'arrêtais pas de m'accuser sans moi-même savoir pourquoi. Je perdais tous mes moyens et je faisais n'importe quoi. J'étais ne train de me ridiculiser devant le roi du lycée. S'en était fini de moi et de ma possible réputation de fille normale.

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Il ne répondit pas à ses excuses, celle-ci le fesaient sourire, elle était nerveuse tout autant que lui mais lui arriavit à le cacher. Il lui répondit.
-Euh... laisse-moi cinq minutes, s'il te plaît.
Il attrapa son texte et se plongea dedans. C'était assez rare pour lui, il traaillait rarement en cours de latin cel atéiat tellement simple pour lui, il y arrivait sas bouger le petit doigt. Il commença apr la traduire.

_SOUVIENS-TOI, dans les moments difficiles, de garder une âme égale, et, dans les événements heureux, d'éviter la joie insolente, car tu es destiné à mourir, Dellius, que ta vie n'ait été qu'une longue suite de peines, ou que, passant les jours de fête en fête, tu te sois souvent réjoui, allongé un peu à l'écart sur l'herbe, d'un vin de Falerne du meilleur cru.
_Dans quel but l'immense pin et le blanc peuplier se plaisent-ils à joindre les ombres hospitalières de leurs rameaux ? Et l'eau vive de ce ruisseau serpentin, pourquoi fuit-elle en murmurant ? Ne serait-ce pas pour t'inviter à faire apporter là, les vins, les parfums et les roses au charme trop fugace tant que ta condition, ton âge et le déroulement du fil noir des trois sœurs te le permettent encore ?
_Tu devras les céder tous ces pâturages boisés achetés à grands frais, ta maison et ton domaine baigné par le Tibre jaune. Oui, tu les cèderas bientôt et c'est un héritier qui prendra possession de toutes ces richesses accumulées en si grande quantité.
_Né riche et de l'antique race d'Inachus ou pauvre et de basse extraction, aucune différence pour qui ne demeure qu'un instant sur la terre, victime inévitable de l'implacable Orcus.
_Tous, nous sommes entraînés vers les mêmes lieux. Tous, nous avons notre destinée agitée dans l'urne et, un peu plus tôt, un peu plus tard, elle en sera tirée, pour nous imposer la traversée dans la barque de l'éternel exil.

Moins de cinq minutes après, il l'avait traduit, il lisait le êxte et automatiquement il el comprenait et le traduisait. Il avait une réel chance d'avoir autant de facilité. Il reparla du sujet.
-Je sais pas trop, on pourrait aller sur l'épicurisme que Horace instruit à Dellius, la recherche d'un bonheur et d'une sagesse pour atteindre le but ultime, l'ataraxie. Ton idée est pas mal, je trouve.
Il ne savait trop quoi lui dire, il savait qu'elle le méprisait. Il était tot ce dont les gens détestait, hypocrisie, méchanceté, prétention... Et elle était si belle, si parfaite, si gentille si intelligent, comment pouvait-il lui plair, il se le demadait bien, pourrait-il un jour être assez bien pour elle ? Pourrait-il réussir à retrouver son vrai visage avec elle, étant donner qu'il ne resentait plus la souffrance avec elle. Même de lui avoir rendu la bague, ne lui avait pas fait grand chose, un léger merci contraint, on pouvait sentir dans savoix qu'elle se sentait obligé de le faire. Il en était sûr, elle ne l'aimais pas, il voulais se battre amis en même temps, il ne souhaitait pas souffrir plus que ce n'était le cas. S'accrocher à elle pour rien ne ferait que le rendre fou et malheureux, plus qu'il ne les déjà. Il fallait qu'il choississe, renoncer et pas souffrir plus ou tenter de la faire céder, mis peut être souffrir encore plus. Mais il en était incapable, il ne pouvait la manipuler, la baratiner, lui mentir, il n'arrivait à être comme toujours avec elle. Il allait se battre mais elle allait surement le faire souffrir plus encoe mais il ne pouvait de résoudre à laisser tomber son coeur, enfin il rebattait pour quelqu'un, enfin il ressentait sa vie revenir et la souffrance n'était aps là pour l'intant. Il la voulait près de lui, sans sa souffrance et avec un coeur qui bat pour elle.

Durant les quelques minutes qu'il eu besoin pour traduire son texte je ne pu m'empêcher de l'observer si coin de l'œil. En même temps, je réfléchissais. Je l'avais déjà bu être mâchant et méprisant avec certaine personnes mais jamais avec moi. Pourquoi lui el voulais-je donc tellement? Avec moi il se montrait même plutôt gentil... Je n'avais pas le droit d'être méchante avec lui. Je ne pouvais lui en vouloir! Il ne m'avait rien fais, rien du tout. Je n'avais donc aucune raison d'être sèche et méprisante avec lui. Je me jurai à l'avenir d'être plis gentille avec lui!

Lorsqu'il eu fini de traduire le texte il continua sur mon idée en disant qu'elle était pas mal. Étrangement, j'étais infiniment heureuse qu'il aime mon idée. Qu'il trouve quelque chose venant de moi bien. Pourquoi réagissais-je ainsi avec lui? C'eût été n'importe qui d'autre, je n'aurais pas réagi... Alors pourquoi avec lui j'avais de telles réactions? Jamais je n'étais tombée amoureuse même si je pouvais plus au moins imaginer je que c'était... Mais était-il possible d'aimer quelqu'un dont on ne supporte pas et qu'on ne connait presque pas? Pouvais-je ressentir de pareil sentiment envers Joshua Alexandre Anderson, roi du lycée de Henley-of-Thames? Pire était-il possible que lui ressente quoi que ce soit pour moi, June Savhana Kennedy, une petite Belge perdue en Angleterre, tellement ordinaire? Après tout, comment pourrait-il manifester le moindre intérêt pour moi or que le moutier des filles du lycée sont à ses pieds?! Des dilles tellement jolies et intéressante! Je ne devais espérer n'importe quoi! J'avais peur aussi d'être sa chose.

Le cours continua comme il avait commencé. Nous discutions du thème que nous avions fixé. Il parlait pendant que je prenais note et de temps en temps je rajoutais un commentaire. À la fin de la première heure, la sonnerie retenti. Nous devions changer de local malgré que le cour restait le même. J'avais remballé mes affaires, Joshua m'attendit. Je me surprenais à penser à lui en tant que Josh et plus Joshua. Comme si nous étions amis. Lui continuait de m'appeler Kennedy mais malgré que je déteste ça, je n'arrivais pas à lui le vouloir! Une question et brûlais mes lèvres et alors que nous arpentions le couloir côte à côte pour atteindre notre nouveau local, je ne pu m'empêcher de la lui poser:

j u n e: "Pourquoi es tu gentil avec moi et pas avec d'autres personnes? J'ai remarquer que en général tu méprisais tout le monde sauf Henry, Austin et Kris. Pourtant avec moi, tu es plutôt sympa, pourquoi? On ne se connaît pas plus que tu ne connais les autres..."
Aussitôt avais-je posé ma question que je la regretai. J'avaisb l'art de poser des questions stupides!

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Il parlait, il commentait le texte, donnait ses idées sur comment traité le sujet, l'idée de June. Elle nota la totalité des comentaires de Josh'. Il en fut assez étonné, comme si ce qu'il disait était bien, c'éait pourtant eel qui le connaissait pas coeur. Elle se contenta de quelque remarque par ci par là. L'heure passa très vite, sans vraiment qu'ils changent de sujet, leur devoir. La sonnerie retentit et ils devaient changer de salle. Il rangea ses affaires, se leva et se dirigea vers la porte. Devant celle-ci, il attendit June qui m'était un peu plus de temps.
Ils partaient en direction de la nouvelle salle. En chemin, June lui posa un question qui, celui li devait lui troter dans la tête depuis un bon moment. Elle lui demanda pourquoi il était si gentil avec elle, contrairement à ce qu'il l'était avec les autres, excepter des personnes comme Henry, Austin ou bien Kris. Il ne répondit pas sur el champ. Ils entrèrent dans l'autre salle et il partit s'asseoir au fond de a classe, suivit de June. Ils s'assirent et sortirent lur affaires respectifs. Il se tourna totalement vers elle et commeça à parler gentilment mais assez tressé. Il ne pouvait que lui dire a vérité, il n'arrivait pas être méchant, méprisable avec elle et encore moins lui mentir. Alors il commença.
-Si tu veux vraiment Kennedy, je vais te le dire. Mais tu vas surement pas me croire.
Il en était certain, elle ne le croirait pas. Elle penserait surement qu'il la baratinait pour l'avoir à lui, or non, il ouvrait son oeurcomme jamais il ne l'avait fait. Elle lui fesait atnt de bien avec sa présence à ses côtés. Il rerit après l'accrod de June qui voulait vraimnt savoir.
-Henry et Auston sont mes meilleurs amis, les faire souffrir me fait souffrir. Kris, elle souffra bien assez, comme tout le monde dit, elle souffre à chaque instant où elle me voit te regarder comme je te regarde. Et il y a en a certain autres aussi mais passons. Pourquoi, je suis si genti, car je n'arrive pas à me résoudre à te faire du mal. Je ne peux faire du mal à la seule eprsonne qui rriva à me soulager. Je ne serais vraiment comment te l'expliquer, mais quand tu es près de moi, c'est comme si mon coeur n'était plus déchiré. Je souffre continuellement, une souffrance considérale mais quand tu es là, je ne la resens plus, comme si tu m'aidais à la cicatriser. Je pense, non j'en suis sûr, depuis le jour où j'ai mis un masque pour cachr ma souffrance, je n'ai jamais plus aimé, enfin il n restait un peu pour quelque personnes mais c'est tout. Et toi, je ne sais comment, mais je t'aime encore plus que je n'ai jamais personne. Même pas mes parents, qui compte plus pour moi. Ne souffrant plus avec toi, je ne peux garder le masque. Le coeur à ses raisons que la raison ignore, cela est bien vrai, le mien souffre depuis bien lontemps et depuis que sa a commencer, je me suis mis à faie souffrir des gens autour de moi. Il y a pas de raison logique, à pars peut-être les faire souffrir autant, mais la méchanceté ne fait pas souffrir autant que le manque d'amour, l'amour mensongé. Voilà, je suis un gros idiot qu te raconte tout ça, alors qu'il sais éperdument que tu le méprises tellement il est horrible avec le monde autour.
Il eut fini de parler. Il prit son stylo plume et tendit le bras vers le bloc note de June. Il écrivit en haut de la page dans le coin gauche : "Je suis sincère, alors enfonce pas un couteau dans mon coeur, s'il te plaît. Je suis fou de toi." Il passa à la igen d'après et reprit : "Kennedy, je t'aime <3" Il croisa ses bras et posa sa tête dedans. Il ferma les yeux et attendit...

Que devais-je penser? Que devais-je faire? Comment devais-je réagire? Pour faire simple, je n'en savait absolument rien. Josh avait l'aire torturé et malgré que je n'avais pas envie de le croire, je voyais qu'il avait mal au fond de lui, et surtout, il était sincère. Malgré cette certitude, j'avais peur. Peur qu'il joue avec moi. Je ne le connaissait pas encore très bien, que depuis quelques mois. Je ne savais pas comment il s'y prenait avec les filles et je n'avais jamais eu aucun écho là dessus. J'avais peur aussi de le faire souffrir. Je n'étais absolument pas sûre de se que je ressentais pour lui quand je le regardais, j'avais à la fois envie qu'il m'aime et que pour lui je ne soit pas comme toute les autre mais en même temps, j'avais une irrésistible envie de le gifler pour tout le mal qu'il faisait autour de lui! Il souffrait déjà et ça j'en était certaine. J'aurais voulu en parler avec quelqu'un, avec Marguerite mais là j'étais livrée à moi-même. Je devais lui répondre sur le champ, je n'avais pas le temps d'en parler à quelqu'un d'autre. Je n'avais pas la force de dire ce que j'avais à lui dire tout haut, à haute voix alors je m'emparai de son stylo et écris deux ligne plus bas:
"J'ai peur de te faire du mal. Je ne veux pas me rendre coupable de tes souffrances alors moi aussi je vais être franche. Quand je te vois deux sentiments s'emparent de moi. D'un côté j'ai envie d'aller vers toi pour mieux te connaitre et j'ai inexplicablement envie d'être dans tes bras mais d'un autre côté, quand je vois tous ceux qui souffre par ta faute, j'ai vraiment envie de te foutre un baffe parce que tu n'as pas le droit d'infliger tout ce mal aux autres."
Je posai ma main sur la sienne pour qu'il relève la tête et lui tendit la feuille de l'autre main. Une fois qu'il eu finit de la lire, Je relevai sa tête pour l'obliger à me faire face. Et lui chuchotai:

j u n e: "Je ne sais pas pourquoi tu jette ton dévolu sur moi or que des tas de filles comme Kris sont à tes pieds. Je suis plus qu'ordinaire et de loin sans intérêt comparé à elles. Bref, je n sais pas non plus pourquoi tu souffre tant et je ne tiens pas à le savoir. Sache juste que je ne pourrais jamais passé mon temps avec quelqu'un qui s'amuse à faire souffrir les autres autres pour la seule raisons que lui souffres!"
J'attendais qu'il réagisse. J'avais soigneusement choisis mes mots pour éviter d'être trop méchante mais en lui disant tout ce que j devais lui dire.

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Elle lui tendit un message qu'elle venait d'écrire, il le lu et fut complètemet stupéfiait, elle voulait aller vers lui, cela lui donnait de l'espoir et puis une baffe qui n'avait pasevie de lui en foutre une. Elle lui rleva la tête et lui adressa la parole en chuchotant. Elle ne compenait pas pourquoi elle ? Il se dit pourquoi tu as aussi envie d'aller vers moi, cela ne s'explique pas ! Elle lui dit qu'elle ne tenait pas à lui dire pourquoi il souffrait. C'était la seule qui lui enlevais ce poids, la seule qui pouvait le guerrir et elel ne voualit rien savoir. Cela l'anéantissa. Et finit, simplement en disant qu'elle ne pourrait ps passer du temps avec quelqu'un qui fait souffrir les gens autour de lui.
Il réfléchissait mais sa descision était prise. Elle lui avait enfoncé un couteau dans le coeur, c'est bon il était assez mal en point comme cela. Il avait eu l'espoir qu'elle l'accepte vu qu'il était différent avec elle et qu'elle le libérerit totaement de sa souffrance, il finirait par être avec tout le monde comme avec ele, il redeviendrait le garçon d'avant. Mais, non elle voulait pas être avec quelqu'un comme lui. Il n'eut la force de parler. Il écrivit sur un papier quelques mots :

Je comprends. Je travaillerais sur le sujet ce soir chez moi et je te donnerais tout demain. On aura plus rien à faire ensemble. T'inquiet pas, je serais sérieux dans le travail et tu corrigeras tout ce qui te plairas. Je sais pas quoi dire, à pars je suis désolé mais je ne changerais pas comme ça, c'est impossible. La prochaine fois, demande à changer de partenaire, il te suffira de dire que tu me supporte pas, il acceptera vu que tu es la meilleure élève et une des plus gentille. Désolé June mais je peux pas reste là, c'est trop dur...

Il rangea ses affaires, se leva, prit son sac à dos, déposa la feuille avec le message devant June et partit n direction du prof. Il lui demanda quelque chose.
-Monsieur puis-je aller vérifier quelque petites chsoes à la bibliothèque ?
-Mais certainement, aller-si.
Avec l'abbrobation du professeur, il sortit de la classe, ferma a porte et partit lentement. Comment le bonheur qu'il avait pu avoir, avait pu virer au cauchemar. Il fallait qu'il essaye de trouvé n tr pour changer sinon jaamis il ne pourrait être avec elle. Il était fou, il ne pensait plus que à elle et pourtant elle ne voulait pas de lui.

Il se mit à écrire. Il me passa le mot puis s'en alla. Je lu en vitesse le mot et compris la raison de son départ. Il m'avais appelé June mais j'avais obtenue exactement l'inverse de se que j'avais souhaitée. Je repassai alors en boucle tout ce que je lui avais dit et mis le points sur mes différentes fautes. J'étais trop bête! Il fallait que je le rattrape. Je levai mon doigt à mon tour.

j u n e: "Monsieur, Joshua a oublié son stylo et j'aurais moi aussi besoin de relire d'autres textes d'Horace pour confirmer mon hypothèse. Puis-je également aller à la bibliothèque ?"
Il acquiesça d'un signe de tête. Je rassemblai mes affaires en un temps records et sortit de la classe au pas de course. Une fois dans le corridor, je regardai autour de moi. Il était déjà au fond du couloir. Comme une idiote je lui courrai après.

j u n e: "JOSH! Attend!"
Je mis plusieurs minutes à le rattraper. Une fois devant lui, je me senti défaillir. J'étais essoufflé et avais du mal à reprendre mon souffle. Les sprint n'étaient définitivement pas mon truc! J'avais une main posé sur son torse pour le retenir et l'autre sur ma poitrine pour calmer les battements de mon cœur. Comme si cela allait aider...

j u n e: "Attends, je crois qu'on s'est mal comprit! Quand je t'ai dit que je ne pourrais pas rester avec toi, c'était de pur forme car après tout ce que tu vient de me dire, je ne pense pas que j'en aurai la force! En disant que je ne voulais pas savoir pourquoi tu souffrais c'était dans le sens que je ne voulais pas t'y forcer mais si cela peut t'aider, vas-y je suis toute ouïe et je ne veux pas ne plus te voir. J'étais heureuse de devoir travailler avec toi, même si je ne l'ai pas montré. J'étais heureuse mais j'avais peur, peur d'être ta future proie. Et moi aussi je t'aime. Je t'aime même si ta façon d'agir me dégoute, je ne peux m'empêcher de penser à toi même quand tu n'es pas là. Mais là encore j'ai peur. Peur de te faire du mal. Peur que tu souffre encore plus à cause de moi. Je sais que ce que tu m'as dit était sincère à propos de ta souffrance. Je le sais et je n'en doute pas un instant. J'aimerais que tu ne souffre plus et si pour t'aider il suffit que je reste près toi je supporterai ton sale caractère pendant un temps car je suppose que si tu ne souffre plus, tu n'aura plus besoin de faire souffrir les autres. Si tu me le promet, je suis prête à rester prêt de toi ou que tu ailles!"
Je pensais absolument tout ce que je venais de lui dire et je me sentais affreusement ridicule J'aurais donné n'importe quoi pour que toute cette histoire soit sincère mais je n'en avais aucune certitude. Comment pouvais-je dès lors juger si ce que je faisais était bien ou pas ?

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Il marchait d'un pas lent. Après quelques minutes il arriva au bout du couloir quand il crut entendre qu'on l'appelait. Il devait surement prendre ses rêves pour des réalités. Mais quelques secondes après, Junefut juste devn lui, le retenant par une amin posé sur son torse. Elle était essouflé, cela le fit esquiecer un petit sourire, elle avait courru pour lui. Il écouta toute les belles paroles de June, elle avait totalement raison, il devait changé, il voul'ait se confier juste à elle, elle le comprenais, elle avait vu directement la raison de son attitude.
Il enleva la main de June de son torse. Il prit la main de June avec la sienne et la tira vers lui pour qu'elle le suive. Il partit vers l'entré du bahut, suivit de June et il s'assis sur les marches devant l'entré du lycée. Elle s'assis à côté de lui. Il se tourna légèrement vers elle, la regarda dans les yeux et il commença à parler.
-J'esperre que ça va marcher, je ne souhaite qu'une chose, voir disparaître cette souffrance, redevenir le Josh' d'avant et être avc toi. Je sais pas si je peux te promettre de changer vite, car je ne le contrôle pas mais je peux te promettre. Non, je te promet que je t'aime, que j'essayerais de totfaire pour changer, je ne te ferais jamais souffrir et que tu n'es pas une de mes proies. Tu es June, l'élue de coeur.
Il continua d'avoir son regard perdu dans le sien et lui caressa la joie avec le dos de sa main. Il reprit pour lui raconter son hitoire.
-Alors voilà, peut-être que de te raconter m'aidera plus. Le jour de mes treize ans, j'ai surpris une conversation, on j'ai entendu que mon père n'était aps mon père biologique. Quelque temps plus tard, j'ai réussi à ce que un laboratoire me fasse un test d'ADN. Sur ceux, j'ai découvert que mon père, n'était pas mon père biologique. En faite, ma mère avait trompé mon père une fois avant ma conception et voila le final. Ils nem'ont jamais dit la vérté et crois qe je l'ignore encore. Sauf que savoir que ma vie était basé sur un mensonge, a détruit mon univers, tout ce que en quoi je croyais et m'a anéanti le coeur. Les gens disaient toujours tu as tout pour toi, mais ils avaient tord l'amour n'était pas là, le lu important, il est basé sur un mensong, dont ils ont même pas eux le courage de m'avouer. Voilà et comme je te les dit tout à l'heure, mon coeur a réagit assez futilement pour se protéger, pour vivr avec cet souffrance qui dure et qui ne cesse jamais. Enfin sauf quand je suis près de toi, enfin mon coeur revit, il aime et bat pour quelqu'un et ma vrai nature est là. Je n'arrive plus à garder le masque quand tu es là. Donc je te promet de toute faire pour réparer mon coeur et réparer ensuite mes erreurs. Mais surtout, je te promet qe tu n'es pas une proie, seulement l'élue de mon coeur. L'élue de mon pauvre coeur délabrer.
Voila elle connaissais son histoire, le pourquoi de sa souffrance. Il espérait qu'elle serait là, qu'elle l'aiderait pour lui et saussi pour elle, pour que enfin elle puisse être avc un type bien, celui d'avant,il en était certain qu'il lui plairait. Et là, il en avait rien à faire du regard des autres, ce qu'il pouvait penser de lui près d'elle. Un roi avec elle, une fille géniale avec un lui. Rien n'aurait du les mettre ensemble, si ce n'est leur attirance inexplicable l'un pour l'autre. Il avait la personne qui l'aiderait, avec qui il était bien et cele qui l'aimerait enfin.

j o s h u a: "J'espère que ça va marcher, je ne souhaite qu'une chose, voir disparaître cette souffrance, redevenir le Josh' d'avant et être avec toi. Je sais pas si je peux te promettre de changer vite, car je ne le contrôle pas mais je peux te promettre. Non, je te promet que je t'aime, que j'essayerais de tout faire pour changer, je ne te ferais jamais souffrir et que tu n'es pas une de mes proies. Tu es June, l'élue de cœur.
Ces paroles résonnait dans ma tête. Était-il possible qu'il dise vrai? Que je ne soit pas en train de rêver? Qu'il soit vraiment ainsi?Je n'en savais strictement rien mais je voulais y croire et quelque chose en moi me disait de lui faire confiance. Devais-je l'écouter ou au contraire m'éloigner de lui et cesser de me laisser aveugler par mes sentiments? Je ne savais pas. Je me perdais ne sachant que penser, que ressentir...

Il caressait ma joue du dos de la main et j'eus besoin d'énormément de concentration pour ne pas attraper le tournis et de rester attentive à ce qu'il me disait. Chacun de ses allé et venu sur ma peau laissait derrière eux un sillage incendié sur ma peau à tel point que j'aurais pu tous les retracer! Je me concentrais sur ce qu'il me racontais.

j o s h u a: "Voilà et comme je te les dit tout à l'heure, mon cœur a réagit assez futilement pour se protéger, pour vivre avec cet souffrance qui dure et qui ne cesse jamais. Enfin sauf quand je suis près de toi, enfin mon cœur revit, il aime et bat pour quelqu'un et ma vrai nature est là. Je n'arrive plus à garder le masque quand tu es là. Donc je te promet de toute faire pour réparer mon cœur et réparer ensuite mes erreurs. Mais surtout, je te promet que tu n'es pas une proie, seulement l'élue de mon cœur. L'élue de mon pauvre cœur délabrer."
Encore une fois les parole résonnèrent dans ma tête au point que je du fermer les yeux et lutter pour les chasser. Il fallait que je lui dise quelque chose. Je n'étais pas d'accord avec lui. Absolument pas!

j u n e: "Je ne suis pas d'accord avec toi. Ton amour n'est pas fondé sur un mensonge. Ton père n'est peut-être pas ton père biologique mais cela n'empêche qu'il t'aime comme tu es. Que ce soit lui qui t'aie fait ou non.Il t'aime comme si tu était son fils biologique et si tes parents n'ont pas voulu te dire qu'il n'était pas ton vrai père, c'est surement parce qu'ils avaient peur de te perdre, peur que tu réagisse comme tu le fais. Malheureusement ils ont obtenu l'effet inverse. Je ne pense pas que je l'aurais dit à mes enfants non plus. Tu es malheureux car tu étais là au mauvais endroit au mauvais moment. Tes parents t'aiment. Ce sont eux qui t'ont élevé, qui t'ont vu grandir, qui ton instruit toute les valeur qu i sont tienne aujourd'hui que tu l'admette ou non. Et même si ton père n'est pas du même sang que toi, il reste ton père! Je crois que réagir comme tu le fais n'est pas utile. Il ne t'ont peut-être pas dit la vérité mais cela ne rend pas tout ce qu'ils t'ont apporté faux. En pensant une chose pareil, tu ne fais que brouiller ta vision des chose et je suis certaine que si tu essaies de voir les choses comme je les voient, tu comprendrais l'attitude de tes parents qui dans le fond, même si c'est mal de garder un tel secret n'ont voulu que te protéger. Pour eux ce n'est pas vraiment un mensonge, tu ES leur fils. Et de toute façon qu'est-ce que cela t'apporte de savoir si ton père est ton père biologique ou non? Es-ce que tu te tournerais vers ton vrai père juste parce que vous êtes lié par le sang ?!"
J'espérais que Josh comprenne ce que je voulais lui dire et qu'il ne le prendrais pas mal. De toute façon, je ne lui disais que ce que je pensais être vrai. S'il ne l'acceptais pas, il n'acceptais pas non plus ma façon de penser.

Messages : 95 Date d'inscription : 03/09/2009

Il écouta attentivement ce que lui disait June mais n'était aps du tut d'accord avec certaines de ses paroles, et d'autre où elle déforma une partie de ce qu'il avait dit. Il reprit donc la parole.
-Certe, c'est mon père, clui qui m'a évélé, qui m'a donné tout son amour et qui était la quand j'avais peur de dormir seul dans ma chambre étant petit. Je ne dis pas que ce n'est pas mon père. Il le sera toujours. Ce que je leur reproche c'est de ne m'avoir jamais dit la vérité, vivre dans le mensonge. Le problème, c'est qu'ils m'ont élévé comme si il n'y avait aucun problème, jamais une dispute, jamais un problème. Et tu peux pas savoir comment c'est difficile de découvrir que tout ceci n'était qu'un cirque. Jamais, je n'aurai réagit comme cela, si ils me l'avaient dit, enfin je pense. Mais surtout le plus dur, c'est de ce dire que tout les jours, ton père te voit comme le reflet de la trahision de sa femme et pour ta mère, la remonter quotidienne de sa bêtise. On n'a des points de vue différent, mais e compend le tien. Et bien sur cela n'enlève e rien tout ce qu'ils m'ont apporté, mais ils m'ont laissé penser qu'ils n'avaient aucun problème ou disputes, vivre dans un illusion contante et qu'elle tombe du jou au lendemain cela fait mal.
De parler cela le libérait, il se sentait moins lourd de souffrance. Cela avancea déjà, certe le chemin à parcouri serat très long, et peut être jamais ini mais il s'arrangerait, il en était certain. Mais il savait très bien, qu'il devait le faire aussi pour elle, pou être avec elle, ils se seront jamais vraiment ensemble, si il restat le même, elle n'aimit pas son attitude mais elel aimait le personnage, celui qu'il était avec elle. Il se sentait bien vec elle, bien commeil ne l'avait plus ressentit depuis lontemps. Il releva la tête et la regarda dans le yeux. De voir ses yeux magnifiques, il en était totalement envouté, c'était comme une claque de bonheur qui le réveillait de la noirseur de la vie, de la souffrance et du malheur. Il les voyait comme si rien que quand ils le regardaient, ils lissaient en lui et trouvaient dirctement le vrai Joshua. Pas moyen de ce cacher, les yeux de June lui fesaient cette effet là, surtout car il l'aimait comme il n'avais jamais aimé. Cet amour laissait sa bonté naturelle arrivé à sortir pour elle. Il reprit ses esprits et reprit.
-Je pense que pas grand monde peuvent comprendre exactement ce qui c'est passé dans ma tête, il faudrait que leur ait toujours dit qu'il n'existait pas de dispute et de trahision. La normal dès choses veux qu l'on se dispute, car ses la base d'une communication normal, enfin pas souvent quand même mais on peut vivre une vie entière sans se disputer vaec une personne, avec chaque personne on doit avoir de accrochage. Bon aller, je me tais. Je t'ai raconté, on cherche pas à ce que tu me comprend et approuve mon acte.
C'était peine perdu, il en était concient. Chque personne réagit différament à cahque situation, chaque personne prend els choses plus ou moins à coeur, chaque personne à plus mal que 'autre pour els même actes, chaque personnes est élevé de façon différent, chaque personnes vit ses propres epreuves qui le forme son caractère et surtout chacun est unique. Si on réagissait tous pareil, cela serait monotone et sans rien de bien intriguant. Les ractions des autres otn toujours incomprises, car on aurait réagit pareil, il en était certain.

Nos avis divergeais. Essayer de le convaincre que j'avais raison serais une erreur. Je n'avais pas raison et lui non plus. Dans ce genre de situation personne n'a raison et personne n'a tort. Et de toute façon tenter de le convaincre aurait été cause perdue. Il était trop têtu et trop persuadé de ce qu'il disait pour en adopter une toute autre vision. Je ne pouvais rien faire de plus. Donner mon avis. Qu'il en prenne note ou pas. J'avais fais ce que j'avais à faire. Loin de moi l'idée qu'il s'agisse d'une besogne et de quelque chose qui m'énervait. Je ne voulais juste respecter son avis sans imposer le mien et sans faire la mêle tout. Je continuais de le regarder dans les yeux car je ne voulais tout simplement pas les quitter. Ils étaient beau, emplis à présent de tristesses et entouré d'un sentiment de trahison. En les regardant ainsi j'eus du mal à croire qu'il fût un temps ou je les craignais. Je craignais ce qu'ils allaient penser de moi, ce qu'ils allaient voir me regardant. Ce qu'ils allaient ramener au cerveau de Josh et surtout je craignais la façon dont lui allait comprendre l'information et ce qu'il allait en divulguer et comment. J'etais en train de repenser au crainte que j'avais autrefois que j'entendis un toussotement forcé derrière nous. Je sursautai et regardant en direction de celui qui nous avait dérangé. Mince! Le proviseur. Il fallait qu'il passe la seule fois ou je séchais les cours!! Comme par hasard...

p r o v i s e u r: "Puis-je savoir ce que vous faits ici? N'êtes vous pas sensé être en classe?"

j u n e: "Euhm... Je... Je devais me rende euh... À la bibliothèque mais... Je suis nouvelle dans le lycée et... Euh... Je me suis perdue et j'ai rencontré Joshua Alexandre Anderson je lui ai demandé mon chemin..."
Je souriais bêtement, j'étais nul en mensonge. J'aurais sûrement lasser Josh parler!

p r o v i s e u r: "-Il était certainement en train de vous expliqué le chemin et comme c'était fort long sachant que c'est la porte juste à côté, vous avez du vous assoir n'est-ce as?"

j u n e: "Non,..."

p r o v i s e u r: "Ne vous fatigué pas Kennedy. C'est l'excuse la plus minable que je n'ai jamais entendue. D'habitude mes élèves sont plus créatifs... Dans mon bureau. Anderson, pareil. Et ne me dite pas que vous risquez de vous perdre!"
Le proviseur s'éloigna vers la classe ou nous avions cours, certainement pour faire une remarque au professeur...

j u n e: "Désolé, j'aurais du te laisser parler. Je suis incapable de mentir! Excuse-moi."
J'étais rouge de honte et me sentais atrocement nul! Comment puvais-je me ridiculiser aussi facilement?!

Messages : 95 Date d'inscription : 03/09/2009

Il vit le proviseur arrivé sur eux. Aucune panique, il avait l'habitude de se faire chpé en train de sécher, quelque heures de colle ne lui fesait pas peur mais elle, es-ce qu'elle serait gérer, mantir. Il sentit qu'il allait falloir trouver une bonne excus pour qu'elle n'est pas de problème. June répondit au proviseur, un peu paniqué. Elle étai tellement tressé qu'elle inventa n mensonge qui ne tenait pas du tout la route. Devant les paroles de cette denière, il ne pu s'empêcherde laiser sortir un rire étouffé. Le provisuer leur indiqua de le suivre dans son bureau. Elle s'excusa a près de Josh', il ne répondit pas. Ils suivirent le proviseur jusqu'à sn bureau. Arrivé dans le bureau, leprovisuer alla s'asseoir derrière celui-ci et indiqua à June et Josh' de s'asseoir juste devant ce dernier. Ils obéirent. Le provisuer pris la parole.
-Alors comme ça, vous séchez les cours. Cela fera donc quatre heures, mercredi après-midi prochain.
-Excusez-moi Mr le provisuer, mais la vrai résond de notre présence hors d notre cours de latin, est que moi et moi suel, voulait le sécher. J'ai inventé une histoire de vérification à la bibliothèque du lycée que le professeur ne pourrait refuser. Hors Mlle Kennedy n'avait en rien l'intention de sécher le cours, mais elle a eu la malchance d'être ma partenaire pour un projet de latin en cours, elle a seulement voulu me retrouver et me ramener en cours, pour que je l'aide, qu'elle ne fasse pas tout toute seule. Elle s'est seulement assis à mes côtés car je ne voulais pas bouger et elle essayait de m'en persuager par tout les moyens.
-En supposant que cela soit vrai, pourquoi Mlle Kennedy a menti dans ce cas ?
-Mais parce qu'elle a paniqué, elle ne voulait essayer que je ne sois pas collé.
-Vous espérez me faire croire cela !
-Mr, c'est une exelente élève, ce n'est pas du tout son gene de sécher les cours. Mettez-moi ses heures de colles en plus des miennes et voilà tout.
-Cela ne vous ressemble pas de vouloir payé pour les autres, exepté pour Mr Dashwood & Mr Jenkins.
-Je ne souhaite pas payé pour elle mais plutôt qu'ele ne paye pas pour moi, elle n'a rien fait de mal à pars vouloir que je travail et essayer que je ne m'attire pas d'ennuis.
-Bon. Adjugez. Mr Anderson cela fera donc huit heures, soit deux fois quare heures deux mercredi de suite. Quand à vous, Mlle Kennedy vos pouvez y aller mais dite directement au professeur ce qui se passe, cela ne sert à rien de vouloir aider une pomme pourri.
June sortit du bureau du proviseur sans dire un mot. Josh' était assez content delui, au moins June n'aurait pas d'heures de colles. Il n'avait pas vraimen menti étant donné qu'il avait quitté le cours par ses propres envies et, en quelque sorte, avait obligé June a le rejoindre ou a rester seule en cours et l'oublier. Le proviseur reprit la parole en s'adressant à Josh' seul autre personne de la pièce.
-Quand allez-vous décidé d'arrêter vos bêtises ?
-Aucune idée. Es-ce que je peux y aller, ça va bientôt sonner et j'ai cours de mathématiques.
-Vous pouvez y aller. Mais vous allez en cours, c'est bien compris. Travaillez bien et bonne journée.
-A vous aussi.
Josh' quitta le bureau du proviseur. Il arriva dans la couloir, à quelque mètre de là, Juneétait contreun mur seule entrain surement de l'attendre. Il y avait la foule de gens autour, c'était la pose de dix heures. Il s'approcha de June tandis qu la sonnerie retentit, il était l'heure d'aller en mathématiques pour ces deux là. Il en était concient, June avait vraiment pas de chance, ils étaient dans la même classe, ils avaient les mêmes langues, les mêmes options, seuls leur clubs différaient, forte heuresement pour elle, enfin c'et ce qu'il pensait.

Comme nous l'avait demandé le proviseur, nous nous sommes tout deux rendu dans son bureau. La dernière fois que j'y était entrée, c'était pour mon inscription. J'avais espère ne jamais yeux retourner tellement l'endroit était sordide. Les mûr était recouvert d'un bois foncé presque noir tout comme le bureau. Les rideau étaient noir et donnait à la pièce une apparence motiaire. La moquette du sol était imprégné d'une odeur de cigare mélangé à une autre odeur... Une odeur de renfermé! Ce mélange répugnant me donna la nausé rien que lorsque que Josh ouvrît la porte! La pièce était enfumée par le cigare que était resté allumé dans le cendrier. Je grimacai! Je détestais cette pièce. Josh s'assit automatiquement sur la chaise de droite, une habitude sûrement... Je prîs l'autre chaise libre priant pour que cette entrevue sois courge!! Si je restais enfermée ici trop longtemps, mon déjeuner ne tiendrais certainement pas en place dans mon estomac! Dès que le proviseur prît la parole, Josh me defendi, affirmant que je je méritais pas ces heure de colle et proposa de les prendre à ma place. Il donna une brève excuse à mon piteux mensonge que le proviseur accepta. Il me convia alors de quitter la pièce! OUF! Malgré ce soulagement, je ne voulais pas qu'il paie pour moi. Ce n'était pas juste. J'étais autant en tort que lui. Alors je l'attendi à la sortie adossée au mûr du couloir. La sonnerie retenti et il sorti. J'attendi qu'il se dirige vers moi et lui dis:
j u n e: "Pourquoi tu as dis ça? Je suis autant en tord que toi! Ce n'est pas juste que tu te prennes huit heure de colle or que tu pourrais en avoir que la moitier... Tu n'aurais pas du. Ce n'étais pas la peine. Je ne suis pas une petite fille fragile qui craint la moindre bêtise, qui à peur d'être collée et ce genre de choses là!"
Sur ce, je tournai les talons et me dirigeai vers la salle où nous avions math. Je savais qu'il allait me rattrapé mais je ne voulais pas que tout le monde pense de moi que je suis la petite fille parfaite, droite, qui ne fais jamais aucune bêtise. Je ne voulais pas avoir la réputation que j'avais eu à Washington ou en Belgique... Je voulais continuer à ne pas trop me faire voir comme c'était le cas jusqu'à présent mais je ne voulais pas que cette réputation de sainte nitouche me colle à la peau. J'aurais du le remercier mais je voulais qu'il comprenne que je n'étais pas celle qu'il avait décrite au proviseur.

Messages : 95 Date d'inscription : 03/09/2009

-Pourquoi tu as dis ça? Je suis autant en tord que toi! Ce n'est pas juste que tu te prennes huit heure de colle or que tu pourrais en avoir que la moitier... Tu n'aurais pas du. Ce n'étais pas la peine. Je ne suis pas une petite fille fragile qui craint la moindre bêtise, qui à peur d'être collée et ce genre de choses là !
Elle pressa le as et parti en direction de la salle de mathématiques. Joshua ne réagissa pas tout de suite, trop préoccuppé à réfléchir comment expliquer les raisons de l'avoir défendu. Il réagit enfin après quelques secondes et la ratrappa juste à temps. Il lui pris le bras juste avant qu'elle n'entre en mathématiques. Il parla assez vite car ils n'allaientpas tarder à devoir entrer, lui expliqua l pourquoi du comment.
-June, si je t'es defendu, c'est que c'est moi qui est quitté le cours, certe tu as decidé de le quitter de toi même mais tu ne l'aurais jamaisfait, si je ne l'avais pas fait. Je préférais les prendre à ta place, tant qu'à être un sale con qui est toujours collé, autant que cela serve à quelque chose, et pis si sa avait pas été cela pour ça, sa aurait éé pour autre chose. Et surtout, j'avais pas envie que tu passes un après-midi complet à t'ennuyer. Mais je m'excuse je n'aurai pas du me meler de ce qui me regardais pas. Tu asle roit comme tout le monde d'être collé.
Il lacha son bras et entra dans la salle. Le professeur allait bientôt commencer son cours. Comme pour tout les cours, il se dirigea sur la table la plus au fond du côté de la fenêtre. Il ne savait pas si June était déjà entré mais il le verrait bien tôt ou tard. Il continuait à s'étonné de penser toujours à elle, où pouvait-elle bien être, qu'allait-ell faire... Il pensait sans cesse à elle, comme un mauvais garçon pense à un jolie ange qui viendra le ramener dans le bon chemin, c'etais un peu ça. Même si l'ange était encore plus beau que en rêve. Il s'assis, posa son sac sur la table, posa ses bras sur son sac puis sa tête dessus.
Quand il fut assis, il vit June qui rentrait seulement. Il se demandait bien ce qu'elle avait bien pu attendre pour rentrer en cours, elle n'avait rien dit quand il est ntré. Pourquoi avait-elle bien attendu ? Peut-être bien comment de déconnection, pensait, rêvassait surement. Ellefut la dernière à entrer en cours et fera a porte derrière elle.

Josh avait parlé très vite pour s'expliquer puis fila en classe pour ne pas manquer le début du cour. Je repassai un instant à ce qu'il venait de me dire et quelques minutes plus tard, j'arrivai à la conclusion que malgré tout, j'aurai du le remercier. Qu'est-ce que je pouvais être gourde parfois!

La seconde sonnerie me sortit de mes rêverie. Je m'emparrai de mon stylo et de mon cahier de brouillon et écrivai maladroitement de mon écriture de cochon juste: MERCI!

J'arrachai la page avant d'entrai en classe et plutot que d'aller m'assoir à ma place, je me dirigeai vers le bureau de professeur.

j u n e : Excusez moi monsieur, je ne me sens pas très bien, pourrais-je rentrer chez moi s'il vous plaît?

p r o f e s s e u r : Biensûr Kennedy, n'oubliez pas de passer prévenir de votre absence à l'acceuil.

j u n e : Merci.
Je me dirigeai vers le dernier banc ou se trouvait Josh. Il avait prît mon stylo au cour de latin. Je le récuperrai dans sa trousse et ne pu m'empêcher de lui glisser la feuille sur laquelle j'avait écrit avant de quitter la classe. Il n'y avait personne à l'accueil alors je laissai un mot pour signaler mon absence cette après midi. Je quittai l'établissement et regagnai mon studio.

FIN!